La Coordination permanente de Medias Libres dénonce les violences policières à l’encontre des journalistes et médias.

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BanniereDefaut La Coordination permanente de Médias Libres dénonce les violences, les pressions, les intimidations policières à l'encontre des journalistes et des médias qui s’accentuent à chaque nouvelle manifestation contre la loi travail et son monde. À plusieurs reprises, des photographes, des vidéastes et des reporters, amateurs/amatrices ou professionnel.le.s ont été visé.e.s délibérément pour empêcher leur travail d'information, ce qui marque une étape supplémentaire dans la répression du mouvement social. L'objectif semble clair : rendre invisible le déchaînement de violence policière inédit contre les manifestant.e.s. Voici une liste non exhaustive de journalistes victimes de violences policières :
  • Durant la grande manifestation de Paris le 14 juin, un périscopeur (vidéo en direct) a été molesté et visé par du gaz lacrymogène alors qu'il filmait un photographe en train de se faire frapper. D'autres photographes ont été chargés par les CRS alors qu'ils prenaient en photo une interpellation. Certains ont reçu en plus des coups de matraques et des fragments de grenades de désencerclement. Un autre photographe dénonce un tir de flash-ball au niveau de la tête qui a cassé son appareil photo. Il a eu une dent et un doigt cassés, ainsi qu'une plaie à un autre doigt.
  • Le 2 juin, des journalistes ont été bousculés et ont reçu des coups de matraques lors de l'évacuation de la rocade de Rennes.
  • Le 26 mai , un jeune reporter indépendant a été blessé à la tête suite au jet d'une grenade de désencerclement qui l'a touché et plongé dans le coma pendant plusieurs jours.
  • Une journaliste des DOCS du Réel a été délibérément visée et a été blessée sévèrement lors de la manifestation sur Paris le 17 mai dernier .
  • Un journaliste du collectif Bon Pied Bon Oeil a été purement et simplement interdit préventivement de pourvoir couvrir la manifestation du 17 mai à Paris.
  • Un confrère réalisateur, Joël Labat, a été ciblé en plein tournage lors de la manifestation sur Paris le 17 mai dernier .
  • De nombreuses et nombreux confrères font état de menaces verbales, parfois physiques à leur égard, mais également de nouvelles techniques pour les empêcher de travailler, comme par exemple l'utilisation de lampes éblouissantes pour empêcher leurs objectifs de fonctionner, ainsi que des injonctions à effacer le contenu des cartes mémoires.
La liberté de la presse, telle que définie dans l'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, condamne de fait les menaces physiques et verbales à l'encontre des journalistes. La CPML demande donc immédiatement l'arrêt de ces pratiques de la part des policiers et renouvelle sa volonté de pouvoir travailler sereinement afin d'assurer le pluralisme de l'information. Cela apparaît d'autant plus indispensable au regard du traitement médiatique de ces manifestations, notamment avec l’instrumentalisation du bris des vitres de l'hôpital Necker par le pouvoir et la presse dominante. Nous aimerions rappeler que notre métier doit être fait en toute indépendance, et que le prix de l'information ne doit pas avoir le goût de sang. Nous sommes déterminés à montrer la vérité et la violence policière qui s'exerce sur l'ensemble des manifestant.e.s, et que nous dénonçons tout autant. Les membres de la CPML : Acrimed, Adiu Sud Gironde, Airelles Video, Aldubarrak Bideo, Bastamag, BateauBasta, Cafaitdesordre.com, Campagne Solidaire, CASA (association), Cassandre/Hors Champs, CDRLP, Citizen Nantes, Cram Cram Editions, Demosphere Ariège, Demosphere Toulouse, Fakir, Fokus 21, Friture Mag, Global Magazine, l’âge de faire, L’Insatiable, la canarde sauvage, la Fédération de l'audiovisuel participatif, La feuille de Chou, La Galipote, La Lettre à Lulu, La Lorgnette.info, La Maison écologique, La Télélibre, Le Bruitagène, Le crieur de la villeneuve, Le journal de l'energie, Le Lot en Action, Le Nouveau Jour J, Le Ravi, Le Sans Culotte 85, Les Amis de la Cathode, Les Pieds dans le PAF, Lutopik, Mediacoop, Médias Citoyens, Montpellier Journal, Pauline Stroesser, Pierre Merejkowsky, Plus Belles les Luttes, Politis, Pumpernickel, Radical Cinema, Radio MNE, Regard Actu, Rencontres Médiatiques, Reporterre, Rézonances TV, Rosalux Medias, SideWays, Silence, Sisyphe Vidéo, Télé Sud-Est, TV Bruits, TV Net citoyenne, ZdF, Zélium

Arrêt des poursuites judiciaires contre La Feuille de chou !

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Contre le délit de solidarité, pour le droit à l’information !  SOUTIEN À LA FEUILLE DE CHOU ! Pour la première fois depuis sa création en 2004, La Feuille de chou, média libre strasbourgeois dédié à l’actualité des mouvements sociaux, des luttes syndicales et écologistes, fait l’objet d’une plainte en justice. Jean-Claude Meyer, son fondateur et directeur de publication, a été mis en examen pour « avoir tenu des propos portant atteinte à l'honneur et à la considération de Jean-Claude Bournez », chef de la Mission Roms de la Ville de Strasbourg, dans deux articles publiés en décembre 2014 : « Noël à Strasbourg : le chef de la mission rom de la ville demande l'expulsion d'une dizaine d’enfants dont deux sont des nourrissons » (12/12/2014) « Une femme avec neuf enfants laissée à la rue par la ville de Strasbourg » (19/12/2014) La Feuille de chou a fait de nombreux reportages sur les campements Roms de Strasbourg depuis plus de trois ans, aux côtés d’associations et d’ONG. Elle a consacré plusieurs dizaines d’articles à la situation dramatique et inadmissible de ces citoyens de l’Union européenne, sur la base d’une présence régulière sur les terrains dits « illicites » ou dans les camps gérés par la Ville. Les billets incriminés ne disent que la triste réalité des actions menées par la Mission Roms et ses agents, confirmée, depuis, par d'autres médias, les Dernières Nouvelles d'Alsace et Rue89 Strasbourg en particulier. Il va sans dire qu'une plainte émanant du chef de la Mission Roms de la Ville de Strasbourg, chargé de mettre en oeuvre la politique municipale que nous dénonçons depuis plusieurs années, est une attaque contre la liberté de la presse et d'informer qui vise à empêcher le devoir de solidarité. Elle voudrait nous faire payer, dans les deux sens du terme, notre soutien indéfectible aux familles Roms, nos informations dérangeantes et notre indignation légitime au regard des faits. Selon nous, son "honneur" et sa "considération" ne sont pas atteints. Nous décrivons ses actes ou la manière dont il remplit sa fonction. Nous savons, pour l'avoir écrit, qu'il reçoit des ordres de missions de sa hiérarchie, Mme Marie-Dominique Dreyssé, adjointe aux Solidarités qui a reçu délégation du sénateur-maire de Strasbourg, M. Roland Ries. Ainsi, dans un contexte local et national d'expulsions quasi quotidiennes, mais aussi d’intimidations et de poursuites de militants pour des « délits de solidarité », nous, administrateurs et rédacteurs de la Feuille de chou, revendiquons le droit d’agir en solidarité avec les familles Roms, de veiller au respect de leurs droits de citoyens européens, mais aussi de minorité discriminée, et faisons valoir le droit d’informer librement des politiques municipales et nationales à leur égard, fut-ce d’une manière critique et incisive. Certains d’entre nous sommes les enfants de victimes du nazisme et du franquisme. Nous sommes d’autant plus vigilants sur ce qui, à partir des politiques actuelles des administrations concernées et en particulier pour la Mission Roms, pourrait conduire à de graves dérives. L'histoire montre que cette vigilance est plus que nécessaire. Vouloir l’empêcher aujourd’hui est inquiétant. Aussi, nous n'acceptons pas qu’un fonctionnaire de la Ville, puisse tenter, à travers la justice, de censurer un travail d’information sur ses missions et la politique municipale qu’il met en oeuvre. La plainte contre la Feuille de chou est une grave atteinte à la liberté d'informer que possèdent tout citoyen et les médias, mais aussi une attaque contre la presse qui résiste. C’est pourquoi, les administrateurs, les rédacteurs et les correspondants de La Feuille de chou appellent tous ceux et celles qui sont attaché(e)s à la liberté d’expression et à la liberté de la presse, à signer pour l'arrêt de toute poursuite judiciaire contre son fondateur et directeur de publication, Jean-Claude Meyer. Strasbourg, le 21 juillet 2015 La Feuille de chou Contact : F2C.media@gmail.com   Pour soutenir la Feuille de chou, vous pouvez signez et partager la pétition et participer au pot commun.

Est-il encore permis d’informer sur les activités du groupe Bolloré ?

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L’audience du procès en diffamation que le groupe Bolloré intente à Bastamag se déroulera le jeudi 11 février, à la 17ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, à partir de 13h. L’audience sera publique. Ce procès pose plusieurs questions essentielles sur la liberté d’informer, en particulier sur les activités des multinationales. L’audience du procès en diffamation que le groupe Bolloré intente à Bastamag se déroulera le jeudi 11 février, à la 17ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, à partir de 13h. L’audience sera publique. Le groupe Bolloré estime diffamatoire pas moins de huit paragraphes – ainsi que le titre et le surtitre – d’un article de synthèse publié par Bastamag en octobre 2012 et consacré à la question de l’accaparement des terres, ces appropriations de terres à grande échelle par des fonds d’investissements ou des multinationales, principalement en Afrique et en Asie. S’appuyant sur des rapports des Nations unies et d’organisations internationales, cet article dressait un état des lieux du mouvement d’accaparement de terres en Afrique, en Amérique latine et en Asie, et des grandes entreprises françaises qui y sont impliquées. L’article mentionne ainsi les activités du groupe Bolloré, via une holding luxembourgeoise, la Socfin, dans lequel le groupe possède de fortes participations. La Socfin possède de multiples filiales qui gèrent des plantations d’hévéas et d’huile de palme en Afrique et en Asie. En plus de trois journalistes de Bastamag (Nadia Djabali, Agnès Rousseaux, Ivan du Roy), de son directeur de publication de l’époque (Julien Lusson), cette plainte en diffamation vise également le site Rue 89 et son directeur de publication, Pierre Haski, pour avoir cité l’article dans sa revue de presse signalant « le meilleur du web », ainsi que la journaliste Dominique Martin Ferrari, qui a cité l’article dans son site « scoop it » (Options Futurs), et trois autres personnes ayant partagé l’article sur leurs blogs (Thierry Lamireau, Laurent Ménard et Guillaume Decugis). Ce procès pose plusieurs questions importantes : - L’accaparement des terres serait-il devenu un sujet impossible à évoquer sans risquer une longue procédure judiciaire ? Informer sur les mises en cause de la Socfin, dont plusieurs entités du groupe Bolloré sont actionnaires, par des organisations internationales et des communautés locales serait-il tabou ? - Plus généralement, est-il encore possible d’évoquer les activités du groupe Bolloré et leurs impacts sociaux et environnementaux ? Le groupe Bolloré a déjà, par le passé, attaqué en justice plusieurs médias, dont France Inter suite à la diffusion d’un reportage sur ses activités au Cameroun. Ce procès contre Bastamag intervient dans un contexte où les pratiques de la Socfin au sein de plantations qu’elle possède, en particulier en Afrique de l’Ouest et en Asie du Sud-est, sont toujours pointées du doigt par des organisations de la société civile. Des paysans cambodgiens ont d’ailleurs porté plainte en juillet contre le groupe Bolloré devant le Tribunal de grande instance de Nanterre pour violation des droits de l’Homme et du droit de l’environnement. Au Sierra Leone, six leaders de communautés locales en conflit avec la filiale locale de la Socfin viennent d’être incarcérés. - Ce procès intervient également dans un contexte où il est toujours question d’instaurer un « secret des affaires » au niveau européen. Cette disposition, si elle entrait en vigueur, entraverait durement toute information critique à l’égard des grandes entreprises et nuirait gravement au nécessaire débat démocratique sur leurs activités. - Enfin, le fait que plusieurs personnes ou médias qui n’ont aucunement participé à la rédaction et à la publication de cet article soient mises en examen repose la question du statut juridique d’un lien hypertexte, d’une revue de presse ou du partage d’un article via un réseau social ou un agrégateur. Ce sont les fondements du fonctionnement du web qui sont ici remis en cause : les liens hypertextes et le partage de contenus en constituent la principale richesse. Les pressions du groupe Bolloré à l’encontre de journalistes sont régulièrement au cœur de l’actualité. Le collectif Informer n’est pas un délit, qui regroupe une cinquantaine de journalistes ainsi que l’association Reporters sans frontières, s’interroge sur la censure et la déprogrammation de plusieurs documentaires qui devaient être diffusés récemment par la chaîne Canal+, dont Vincent Bolloré est devenu le principal actionnaire. Nous rappelons également que Bastamag fait l’objet d’une seconde plainte en diffamation de la part du groupe Bolloré, pour un petit article évoquant en octobre 2014 une rencontre entre des représentants du groupe Bolloré et des délégués de communautés locales africaines et cambodgiennes en conflit avec la Socfin. La rédaction de Bastamag Photo : Le kiosquier de la Gaité / CC Jean-François Gornet Source : http://www.bastamag.net/Est-il-encore-permis-d-informer-sur-les-activites-du-groupe-Bollore

Fausses solutions face au changement climatique

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A l'heure où l'on sabre la dimension citoyenne de la COP21, les médias libres ont décidé de faire entendre leurs voix pour ne pas laisser les dominants parader en vert impunément... La Coordination Permanente des Médias Libres, qui réunit plus de 40 médias à travers la France, a réalisé un dossier d'une douzaine d'articles et vous propose une plongée dans le monde de ces fausses solutions climatiques, où les ressources restent illimitées et la croissance, infinie.

 

Pour découvrir le dossier, c'est par ici !

   

Qui veut la peau de la presse libre ?

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Bastamag est poursuivi à nouveau par le groupe Bolloré. Cette actualité dévoile d’autres procédures lancées contre des titres appartenant à la Coordination des médias libres. Ces plaintes qui visent une presse indépendante émanent souvent d’élus, ou d’entrepreneurs qui possèdent ou contrôlent les autres médias. Elles cherchent à bâillonner des informations sensibles traitant des droits humains et sociaux bafoués, d’abus de position dominante de multinationales, quand elles ne dénoncent pas des « affairistes ». Les plaintes s’accompagnent souvent de demandes financières volontairement bien au-delà des moyens de ces médias. Ces pressions cherchent avant tout à décourager la critique. Les grandes déclarations, les « Je suis Charlie » à tout va, la liberté d’expression de la presse brandie comme un étendard, l’impertinence des enquêtes et des propos érigée en vertu républicaine, tout ça, c’est bien fini. Fermée la parenthèse, retour aux attaques en justice version pot de fer contre pot de terre, place au pouvoir de l’argent, aux demande de lourdes sanctions financières, à l’étouffement sous les procédures de la presse indépendante. Combat inégal à chaque fois, ce qu’illustre trois procédures en cours et une avortée en juin 2015 :
  • La mairie de Strasbourg a porté plainte contre La Feuille de chou, « presse quotidienne radicale au capital illimité d’indignation », pour deux articles du blog dénonçant le manque de prise en charge des familles roms et la politique d’expulsions municipales.
  • À Grabels (Hérault), un élu (Front de Gauche), lui même objet d’une plainte pour « corruption passive », fait financer ses frais de justice par sa commune pour attaquer Montpellier journal en diffamation, non pour des faits qu’il ne conteste pas, mais pour des « insinuations ».
  • Tout en faisant le ménage à Canal+, Vincent Bolloré lance une deuxième plainte en diffamation contre le site d’information Basta! pour un article sur l’accaparement de terres en Afrique et en Asie. L’attaque en justice s’est élargie en englobant Rue89 pour avoir cité l’article dans sa revue de presse.
  • Une procédure lourde (5 ans de prison et 40 000 euros d’amende) contre un utilisateur du site « Iaata » à Toulouse s’est soldée par une retraite en règle motivée par la crainte d’un démontage public de l’accusation et la menace que l’info soit reprise par l’ensemble du réseau des médias libres…
Ces offensives contre la presse indépendante interviennent alors que le collectif Informer n’est pas un délit, qui regroupe une cinquantaine de journalistes ainsi que l’association Reporters sans frontières, alerte sur la censure et la déprogrammation de quatre documentaires par la chaîne Canal+, dont Vincent Bolloré est devenu le principal actionnaire. Mais ce collectif dénonce aussi l’acharnement judiciaire des puissants. Le premier but de ces plaintes n’est pas d’obtenir gain de cause en justice. Il est plus sûrement, et quelle que soit l’issue judiciaire, d’étouffer les voix discordantes. La justice n’est alors que l’instrument d’une guerre d’usure, d’intimidation contre les journalistes non aligné.es. Le poids financier d’éventuelles condamnations peut aider à les faire taire, mais quoi qu’il arrive, la charge budgétaire de la défense et l’énergie à porter contre ces procédures, manœuvres dilatoires et recours peuvent suffire à mettre cette presse en difficulté. C’est d’autant plus vrai pour la presse indépendante, aux budgets serrés, voire carrément contrainte à la pauvreté. L’existence d’une presse qui ne soit pas imprégnée des intérêts capitalistiques, ni vendue aux lobbys des multinationales ou inféodée aux potentats locaux est, faut-il le rappeler, un acquis démocratique. C’est même l’esprit des lendemains de la Seconde Guerre mondiale : à la Libération, on ne parlait que de mettre les journaux à l’abri des puissances d’argent, de protéger leur indépendance. On dirait que la guerre est à nouveau déclarée. —————— Acrimed, À Contre Courant, Adiu Sud Gironde, Adiu TV, Airelles Video, Aldubarrak Bideo, BateauBasta, Cafaitdesordre.com, campagne solidaire, CASA ( association), Cassandre/Hors Champs, CDRLP, Citizen Nantes, Cram Cram Editions, Demosphere Ariège, Demosphere Toulouse, Fakir, Fokus 21, Friture Mag, Hexagones, l’âge de faire, L’Insatiable, la canarde sauvage, la Fédération des Vidéos et Pays de Quartier, Le Ravi, La Lorgnette.info, La Lettre à Lulu, La Maison écologique, Le Nouveau Jour J, Les Amis de la Cathode, Le Sans Culotte 85, Le Lot en Action, Les Pieds dans le PAF, Lutopik, Montpellier Journal, Médias Citoyens, Pierre Merejkowsky, Plus Belles les Luttes, Politis, Pumpernickel, Radio MNE, Rézonances TV, Reporterre, Rencontres Médiatiques, Sisyphe Vidéo, Silence, SideWays, Télé Sud-Est, TV Bruits, ZdF, Zélium.

Pétition en soutien à la Feuille de Chou

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« Pour la première fois depuis sa création en 2004, La Feuille de chou, média libre strasbourgeois dédié à l’actualité des mouvements sociaux, des luttes syndicales et écologistes, fait l’objet d’une plainte en justice. Jean-Claude Meyer, son fondateur et directeur de publication, a été mis en examen pour « avoir tenu des propos portant atteinte à l’honneur et à la considération de Jean-Claude Bournez », chef de la Mission Roms de la Ville de Strasbourg, dans deux articles publiés en décembre 2014… » Pour lire l’article et signer la pétition, c’est par ici…

Médias et Genre par Les Pieds dans le PAF

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Un après-midi pour se rencontrer, discuter et s’exprimer sur les médias et l’image de l’homme et de la femme qu’ils diffusent. Le samedi 4 juillet 2015, les Pieds dans le PAF organisait une action de sensibilisation sur les représentations de genre dans les médias sur l’Esplanade des Droits de l’Homme et du Citoyen (place Nelson Mandela) à Saint-Nazaire. Pour en savoir plus, c'est par là : Les Pieds dans le PAF